Journal de bord

Naviguant sur les flots amers de mes passions stupides, je me dis que mes jours de gloire sont loin derrière moi. De mes amours, l'inutilité profonde de tels sentiments ayant déjà été dépeinte par bien plus habiles que moi, je ne retiendrai qu'un amas de connes stupides entremêlées. Alors pour ne pas sombrer dans le gouffre, je me dis que j'aurais vu les dribbles de Zidane, et deux-trois buts de Gourcuff.